Wade O'Connor ROYALTY OF PORTLAND broken heart since : 21/09/2018 textos de rupture envoyés : 143 la gourmandise : 55 faceclaim : Jake Hold (kaotika)
| Sujet: bad company till the day i die Lun 1 Oct - 18:21 | |
| Wade O'Connor ft. Jake Hold
"Rebel souls Deserters we've been called Chose a gun And threw away the sun"
(identification complète) Wade O'Connor, des lettres qui écorchent les lèvres, dont le goût âpre n'égale que le feu qui se propage dans ses veines. (âge) 29 années consumés comme ces cibiches qui bordent ses lippes. (lieu et date de naissance) Né du néant. C'est à peine si il parvint à se souvenir de l'ombre de ses parents biologiques. Il était ce bambin aux sombres prunelles bleus qui fut recueilli entre les bras de ces hommes couvert de veste en cuir. (statut civil) célibataire sans attaches. (emploi ou études) leader d'un gang de motards qui se font appeler Red Wolves, héritier d'un modeste garage et d'un pub irlandais. (orientation sexuelle) pansexuel. (statut financier) $$$$ (traits de caractères) tempétueux, volcanique, fougueux, impulsif, sarcastique, instable, chaotique, énergique, vif, déséquilibré, détraqué, farceur, vaurien, vulgaire. (doppelganger) jake hold. (groupe choisi) toy boy.
Eye for an eye Tooth for a tooth Blood for blood We've all gotta die
C'est qu't'as été bercé la tête trop près du mur quand t'étais gosse, O'Connor. C'est ce qu'ils disent souvent, avec leurs sourires sarcastiques, leurs mines renfrognées et leurs choppes de bières s'entrechoquant en des bruits sourds. Toi t'est plus du genre à leur répondre par des gestes vulgaires et suggestifs, avant qu'ils n'éclatent de rire en te voyant faire. Tu t'en fiche bien, dans le fond, parce que la honte, la pudeur, tu n'en a jamais connu les véritables significations. ☲ T'est une raclure de la pire espèce, ce qui fait parti de la fange que la haute société s'efforce de cacher dans l'ombre du monde. Un vaurien qui se bat non pas seulement pour sa propre survie, mais parce que tu aime te confronter à d'autres. Combats illégaux, clandestins, entre pari foireux et giclées de sang, t'est ce qu'on peux appeler un tordu. Un type accro à la douleur et l'adrénaline. Et toi, ça te fait sourire. ☲ Comment espérer pouvoir faire perdre quelque chose à quelqu'un qui ne possède rien ? Rien que la poussière, l'humidité qui ronge ses bottes de cuirs, effleure sa veste étouffante qui se fond à l'encre de ses tatouages battant contre son derme. Ces longs fleuves de suie, d'anguilles venimeuses, traçant leurs histoires troubles à même la page marmoréenne de sa peau. Il n'a que pour lui cette peau, comme réceptacle de cette violence qui bat à même ses entrailles. Le feu qui ravage ses viscères et inonde ses prunelles en une pluie de météores enflammés. ☲ À l'aube, tu est ce type souriant, lavant parfois quelques verres vides de la veille d'une soirée trop arrosée, dans ce bar là, qui t'appartiens désormais. Ou bien près du garage, les mains noircies, salie par le cambouis pâteux qui se colle entre tes doigts encrés. À émerger d'une paire de draps inconnus, entre quelques dunes de chair moelleuses venues se lover près de tes joues mal rasées. Et quand les lueurs du jour s'éteignent, tu pars rejoindre ton amante la plus irascible. La nuit. Éternelle et farouche. Qui darde ses lueurs blafardes, livides, sur ta silhouette coupable. Ce sang qui tâche, souille tes mains de son odeur poisseuse, métallique. Les fraîches effluves d'un canon brûlant, fumant, ayant relâché le poison de ta haine contre l'asphalte trempée. ☲ Pyromane. Le feu. Ce lien inextricable avec la passion des flammes qui font bouillir tes veines, gorge tes prunelles de lueurs incendiaires et hante ton âme de traînées enflammées. Tes mains qui effleurent le vrombissement du gaz qui se déploie d'un briquet, l'étincelle prodigieuse qui enivre ton visage d'un halo chaleureux, l'ardente chaleur qui se propage entre tes mains calleuses. Et le sang, qui en dégouline, macule le réceptacle de ta violence, comme l'essence à ce feu qui t'arrache chaque jour des soupirs, semblable à des grognements épuisés. ☲ Red Wolves. Ça roule contre ta langue comme une symphonie euphorique, tristement funèbre. Ta seconde famille. Tes loups au pelage teinté de gouttes vermeilles. Autrefois ton refuge, aujourd'hui ton havre de paix. Certains te jugeait trop idiot, indiscipliné pour reprendre la machine en cours de route. À la mort de ce père, ce mentor. Cet exemple qui demeure aujourd'hui ancré dans ta mémoire. Et cette vendetta à laquelle tu as pris part en son nom. À la croisée des feux, le grondement de ces bécanes amoncelées, qui dans la nuit, frappent comme des éclairs incandescents.
A company Always on the run A destiny Oh it's the rising sun I was born A shotgun in my hands Behind the gun I'll make my final stand, yeah!
˜ And that's why they call me, Bad Company.
All the shades of red that have designed me All the hell I've seen, it still confines me All the pain I felt, it's still inside me All the rage I have, it still completes me Parfois, de la cendre, renaît des flammes. De la mort, renaît la fureur. De l'abandon, naît la rage. Des morceaux d'âmes creux, puits sans fond, gouffre béant, toile tavelé de néant, d'une intangibilité éternelle. Des souvenirs bafoués, rayés de ses réminiscences incertaines. Parfois des images, qui bombarde son esprit de lueurs oubliées, lointaines. Des faisceaux aveuglant, figeant leurs rayons ensoleillés sur ces ombres mouvantes. Les éclats d'une voix, des pleurs et de la neige maculant son visage. Le crissement du cuir, la douce étreinte d'une voix basse, gutturale et ces larges mains calleuses l'entraînant contre la chaleur d'une veste lourde, rigide. Et un loup. Géant. Magnifique. Qui dans la neige s'élève en souverain indétrônable.
~~ Soir d'hiver. Seul, dans la neige qui s'effrite sous les pas lourds de ses bottes de cuir. Le crissement des rangers qui s'enfonce dans un froid abyssal, tente, menace de le happer à chaque instant. Comme si le prochain pas allait être le gouffre. Et le vent. Qui fait se mouvoir cette longue écharpe, tel un survivant pris dans une tempête de neige, rescapé d'une avalanche de flocons qui pleuvent contre sa peau tracée du joug indomptable d'une encre noire. Ses lèvres qui tremblent et ses mains qui viennent à se lover dans la chaleur vaine de cette laine qui entoure son cou. L'assaut de l'hiver qui s'étiole au moment ou ses pas pénètre dans ce bar aux éclats aveuglants. La porte qu'il referme derrière lui dans un claquement sinistre et son regard qui se pose sur toutes ces silhouettes silencieuses. Certaines aux abords d'un précipice éthylique sans fond, l'ambre qui se noie dans leurs verres et ondoie dans leurs prunelles bien trop sage. À peine un raclement de gorge, lorsqu'il est entré pour apercevoir toutes ces mines déconfites, qui fuis rapidement la lueur de ses orbes confuses. « Vous en faites une p'tain d'tête c'soir. C'l'froid qui as gelé vos couilles ? » Encore là, personne ne lui répond. Il se serait attendu à une énième boutade, une poignée de main féroce pour l'accueillir ou bien une tape amicale sur le coin de l'épaule. Mais rien. Seulement leurs regards dépités qui se frôlent, comme s'ils voulaient se dire tout haut des mots inintelligible à ses oreilles. Il se dit que ce n'est que passager. Qu'une énième galère leurs est tombé sur le coin de la figure. Un énième passage des flics, une rupture récente, une énième bourde de Cillian leur nouveau louveteau. Mais il sens que quelque chose ne vas pas. Comme on sens les effluves d'excréments avant de se rendre compte qu'il en reste une odeur pestilentielle en dessous de la paire de ses semelles. Mais il avance, dans l'antre du Loup. Dépose cette veste de cuir sur l'une des chaises de bois, ainsi que son écharpe avant de venir poser ses mains à plat sur le billard. Ses orbes cherchant à nouveau ce contact qu'ils fuyaient. « Bon, où est Kean ? J'dois lui parler, à propos d'not' arrangement avec les écossais. » Encore une fois. Ce n'est que quelques raclements de gorges gutturaux qui l'accueille. Quelques silhouettes hésitantes qui se retourne vers lui. Puis c'est la colère, qui reprend le dessus. L'agacement, de n'avoir aucune réponse à ses questions. De ne tomber face à ces mines livides, comme si la faucheuse elle-même venait de pourfendre leurs âmes du bout de sa faux moissonneuse. Ses mains s'abattent à plat, dans un fracas qui fait s'entrechoquer les boules du billard. « Putain ! Mais vous allez m'répondre, ouais ? À c'que j'sache vos mères vous ont pondus avec deux putains d'oreilles et une bouche. » Un énième grondement franchis la barrière de ses lippes et il se redresse, les poings crispés le long de son corps. « Qu'elles vous servent à autre chose qu'à sucer des p't'ains d'noeuds ! » La haine du vide qui fait se froncer ses sourcils et fait se tourner sa silhouette hagarde vers chacun d'entre eux en attendant de quelconques explications. Puis finalement, ce sont ses pas qui prennent le dessus, alors qu'il se met à marcher d'un pas rapide, déterminé, dans une salle en arrière du bar, là où se trouve ce fameux bureau. Dans son dos, des bruits de pas qui se pressent soudainement, une main qui se pose sur son épaule, comme pour l'empêcher du moindre geste. Mais c'est déjà trop tard. La porte est ouverte. Et le bureau... vide. Seul quelques rayons lunaires viennent à se figer sur ce geste vide, comme une évidence. Et la colère. Venimeuse. Âpre. Qui vint à se faufiler jusque dans sa psyché, le squame d'un serpent froid qui s'enroule, là, tout autour de sa gorge. Il suffoque. Perd pieds, l'équilibre dans le déséquilibre. Et le feu, qui le ronge, l'annihile de l'intérieur. Alors qu'il se tourne à nouveau. Loup flamboyant. Dans toute sa superbe dissidente. « Si vous voulez pas qu'j'vous éclate vos sales putains d'tronches un par un... Vous allez me dire. Maintenant. Où est Kean ? » La mine sombre de l'un de ces loups. Un compère. Qui émerge de son siège pour venir se planter face à lui. L'air grave et les ombres des lumières qui dansent sur son visage. « Kean est parti, Wade. Et il ne reviendra pas. » Soudainement, le monde s'écroule. Les lumières se font avaler dans les ombres dédaléennes et ses poings. Comme seul langage à sa douleur qui l'habite, fusent, comme des lames dentelées prête à arracher, détruire, broyer, écraser, anéantir, tout ce qui se trouve sur son chemin.
~~ Il était venu. Avec sa clope, son cuir, sa moto, ses orbes brunes se fondant aux ombres nocturnes depuis de lointaines contrées ensoleillées. Avec cet accent mélodieux roulant lestement contre sa langue et ses sourires incandescents qui parfois venait à se loger à ses lèvres. Il avait rien, lui aussi. Rien que la misère dans le regard, la rage dans ses tripes. La férocité de ses poings venus se loger contre sa peau et la dualité de leurs orbes s'entrechoquant. Et aujourd'hui, ils étaient là, côte à côte. Leurs épaules moulées dans leurs cuirs se frôlant en des caresses imperceptibles, insidieuses. « Alors, la brune ou la blonde ? » Qu'il lui avait demandé, dans un coup de tête dirigé vers deux autres noctambules, deux femmes échangeant quelques chuchotis en les regardant. Et il s'était tourné vers lui, avant d'éteindre sa cigarette sous la morsure impitoyable de sa rangers. « L'brun. »
(prénom/pseudo) kaotika. (pays) france. (ton avis sur le forum) je vous aime les pipous . (tu nous a trouvé où?) bazzart. (type de personnage) changement de personnage, inventé
Dernière édition par Wade O'Connor le Lun 1 Oct - 21:02, édité 9 fois |
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William Beaufort Portland Babes broken heart since : 29/08/2018 textos de rupture envoyés : 413 la gourmandise : 15 faceclaim : brandon flynn made by Merenwen.
| Sujet: Re: bad company till the day i die Lun 1 Oct - 18:58 | |
| WUT ? MAIS T'ES TROP HOT, PUREE. Re-bienvenue par ici, j'te préfère nettement plus en mec de toute manière alors j'suis super content de te revoir avec une beauté pareil ! Courage pour ta fiche, tu connais la maison so have fun ! |
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